L'association Villepreux Autrement ne peut pas soutenir la décision du Conseil municipal du 3 novembre 2005 portant sur la limitation d'accès au service de restauration scolaire et cela tant sur le fond que sur la forme.
Sur le fond, le traitement purement comptable pour limiter le nombre d'enfants inscrits dans les cantines ne peut apporter qu'une solution limitée et à court terme ne prennant pas en compte les nouveaux besoins des habitants.
L'augmentation du nombre d'habitants dans notre commune suite aux différents programmes immobiliers entraîne mécaniquement un plus grand nombre d'enfants inscrits dans les cantines des écoles. Une gestion efficace et raisonnée de notre commune aurait du l'anticiper afin de trouver des solutions acceptables par tous.
Sur la forme, la demande faite aux parents de justifier de la nécessité pour eux d'inscrire leurs enfants à la cantine à la fois par une attestation de leur employeur et par un certificat sur l'honneur, fait pointer sur eux un sentiment de suspision, comme si l'inscription à la cantine était une commodité et non une obligation.
La limitation comptable décidée unilatéralement par le Conseil municipal et sans concertation préalable auprès de la population ne réglera rien mais accroîtra le mécontentement des habitants face à une gestion à l'emporte pièce.
Mme Vallaidon promettait dans son programme des éléctions municipales de 2001, l'aménagement d'une cantine pour l'école Jacques Gillet.
La responsabilité de chacun demandée par l'équipe municale devrait être précédée par la responsabilité de l'équipe municipale à respecter ses engagements.
Sur le fond, le traitement purement comptable pour limiter le nombre d'enfants inscrits dans les cantines ne peut apporter qu'une solution limitée et à court terme ne prennant pas en compte les nouveaux besoins des habitants.
L'augmentation du nombre d'habitants dans notre commune suite aux différents programmes immobiliers entraîne mécaniquement un plus grand nombre d'enfants inscrits dans les cantines des écoles. Une gestion efficace et raisonnée de notre commune aurait du l'anticiper afin de trouver des solutions acceptables par tous.
Sur la forme, la demande faite aux parents de justifier de la nécessité pour eux d'inscrire leurs enfants à la cantine à la fois par une attestation de leur employeur et par un certificat sur l'honneur, fait pointer sur eux un sentiment de suspision, comme si l'inscription à la cantine était une commodité et non une obligation.
La limitation comptable décidée unilatéralement par le Conseil municipal et sans concertation préalable auprès de la population ne réglera rien mais accroîtra le mécontentement des habitants face à une gestion à l'emporte pièce.
Mme Vallaidon promettait dans son programme des éléctions municipales de 2001, l'aménagement d'une cantine pour l'école Jacques Gillet.
La responsabilité de chacun demandée par l'équipe municale devrait être précédée par la responsabilité de l'équipe municipale à respecter ses engagements.
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